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Serie de estampas que bajo este nombre realizó Francisco de Goya entre 1810-1815

Sinopsis:
La violencia de la que el artista aragonés fue testigo durante la Guerra de la Independencia impulsó al artista a retomar dibujos, bocetos y estampas, actividad que tenía algo abandonada desde 1799. A través de estos trabajos expresó el dolor y la angustia ante los acontecimientos de los que fue a la vez testigo y víctima. La imagen que tiene Goya de la guerra es bien distinta de la que hasta ese momento era común en los pintores de la época. Su mirada es la de una realidad sin fisuras. En los Desastres no hay héroes, no hay vencedores ni vencidos. Todos, tanto el ejército francés como el pueblo esp...

Entre satire et fantaisie

Sinopsis:
Voici quatre‐vingts planches, de dimensions moyennes, feuilles volantes, destinées à circuler commodément, des espèces de placards de satire et de fantaisie. Elles ont été exécutées de 1793 à 1797, à une époque où l’Europe se débat dans les convulsions de la fin d’un monde. Leur titre, Les Caprices, pourrait faire croire qu’il n’y ait là que le passe‐temps d’un grand peintre. Mais, derrière ce mot innocent, se dissimule une virulence occulte, si bien que le sens de certaines planches nous paraît encore aujourd’hui très énigmatique....

Spécialiste de l’œuvre de Goya, Miguel Hervás dessine dans ce livre les traits de ce mysterieux leg de Goya

Sinopsis:
Maison paysanne située à la périphérie de Madrid, la Quinta – plus tard connue comme la « Quinta du Sourd » – fut achetée par Goya en 1819.  En 1820, il peignit ses murs avec les motifs les plus sombres et énigmatiques. Peu de temps après, le lieu tomba dans l’oubli, hanté par les malheurs, donnant lieu à toutes sortes d’interprétations, de théories et de légendes. Depuis, les Peintures noires ne cessent d’inquiéter...

Visionnaire du réel

Sinopsis:
Toiles de cauchemar, dont jamais on n’avait vu les équivalentes dans la peinture. Si réels, et si sauvages, avec une sorte d’accent à demi caricatural qui double l’horreur de la scène, les Désastres de la guerre sont des impressions, des visions brèves et globales de l’effroi, où le détail ne joue que pour en multiplier l’effet, une apparition fulgurante qui semble jaillir de la nuit pour y rentrer aussitôt.  Si le mot de “ visionnaire ” n’avait existé, il eût fallu le créer pour désigner l’art de Goya. Et si le “ réalisme ” était autre chose qu’un mot, c’est peut‐être Goya qui nous eût contraints de l’insérer ...